Alice and Carlisle tell Bella how Jacob was found in the woods, by Rachel and Paul, after a terrible storm, and how her children suddenly became human. They understand everything is connected with Bella transformation into a vampire. Bella is much concerned by her children and fears she might not be a good mother. She's overwhelmed by her love for them. Edward and her tell about what they have learnt when they met Kaly, and how Bella's gift evolved. Jacob is clearly human also, but a little different : vampires psychic powers have no effect on him, he's a strange smell, not attractive for them, and a sort of disturbing magnetic effect on them. Seth has imprinted on Sarah when she became human, and Rosalie chose to leave for she couldn't stand her feelings towards Karel have changed. Carlisle tells Bella about what he experienced about vampires biology when she refers to the dream she made a few years ago. She also understands something very serious happened, that hasn't been told to her yet. Then she learns it through Edward's mind : they are supposed to be gone for ever. When Alice knew for sure Bella was to come back as a vampire, the Cullen let everyone know they were on board of a plane that crashed. Renée thinks her daughter's now dead, just as the Volturi believed The Scourge (Kaly) killed them. Their life cannot be but quite different from now on. Many questions are raising. Bella's distressed, but Edward swears they will find solutions... and tells her about an old cottage he once bought.
(clin d'oeil : une Bella version "Blanche Neige"... l'ironie du sort !)
Ces chapitres tentent d'apporter quelques réponses, même si de nouvelles questions se posent aussi. Voici donc, un peu longuement, certaines de mes explications et de mes réflexions à ce stade de ma fiction.
Il m'a semblé important de présenter la relation qui s'établit et les réactions de Bella envers ses enfants. Ses inquiétudes, ses réflexions et son ressenti. Elle craint d'avoir perdu leur affection, mais s'aperçoit que leurs retrouvailles se sont merveilleusement bien passées. Elle voudrait s'en réjouir, mais ne le peut pas vraiment : la voilà vampire, et ils sont humains. La vérité est que le charme fonctionne. Sarah et Karel sont subjugués. Néanmoins, Bella éprouve avec intensité son amour de mère à leur égard. Il lui permet de comprendre un certain nombre de choses. Il donne du sens au choix qu'elle a fait. Tout d'abord, elle sent que le but de son existence est de pouvoir protéger ses enfants. Ensuite, elle mesure la puissance de l'amour que peut éprouver un vampire à l'égard d'un être humain, si fragile, si précieux...
Je pense que cet amour-là mérite qu'on y réfléchisse. Dans la littérature, on se focalise d'ordinaire davantage sur cette fascination que l'humain éprouve envers l'être fantastique, séduisant, irrésistible -comme seul un être surnaturel peut l'être- qu'est le vampire. Mais qu'en est-il de l'amour du vampire ? Quel est-il lorsqu'il n'est pas, lui aussi, qu'une attirance irrépressible provenant de sa soif de sang ? Edward l'avait exprimé, au début de la saga, lorsqu'il disait à Bella qu'il se sentait le besoin de la "protéger". En effet... le pire qui puisse se produire, pour un vampire immortel et amoureux, c'est bien que celui ou celle qu'il aime perde la vie (et c'est également tout son dilemme). Alors comment ne pas se dévouer entièrement à cette préoccupation ?
Dans ces chapitres, Bella dit que ce qu'elle éprouve pour ses enfants la "ravit à elle-même", que rien d'autre n'a d'importance et qu'elle ne s'appartient plus. Je suis convaincue que c'est bien là, effectivement, l'effet de l'amour -lorsqu'il est vrai, sincère et profond-, car il est absolu.
Sarah et Karel sont à présent de simples être humains. Bella s'en réjouit, d'une certaine manière. Pour elle, la nature des Transformateurs recèle une fatalité qui leur refuse une liberté totale. Ils sont condamnés à transmuter, à s'imprégner peut-être un jour... En ce sens, la voilà presque soulagée. Mais elle doit également faire face à sa peur de ne pas être une bonne mère, maintenant qu'elle a changé de nature.
On pourrait même se demander avec elle : lui est-il toujours bien possible d'être mère en étant vampire ? C'est la question que je me suis posée. Et l'histoire va progressivement y répondre...
Une petite remarque : j'ai hésité à donner des visages à ces enfants. Je répugne à voir des photos d'enfants sur le net... mais comme on peut y trouver ces deux-là, et qu'ils se rapprochent beaucoup de l'idée que je me fais des enfants de Bella, j'ai néanmoins emprunté leurs visages pour apporter davantage de réalité à Sarah et Karel.
Alice fait le récit des événements qui se sont produits en l'absence de Bella et d'Edward. Un soir d'été, un orage extraordinaire a eu lieu, après lequel Sarah et Karel ont changé de nature et Jacob a été retrouvé.
Voilà, au passage, une bonne occasion de vous proposer encore de magnifiques images pour vos fonds d'écrans (ou vos fonds de rêves... lol).
J'ai voulu garder la relation entre Paul et Rachel envisagée par S. Meyer. Elle est tout à fait intéressante. Compte tenu de la personnalité de Paul, qui n'a rien du gendre idéal, on peut facilement imaginer la réaction de Billy. L'idée est amusante. De plus, impossible de lutter contre l'imprégnation, et peut-être même fera-t-elle de lui le plus doux des toutous... ? Quoi qu'il en soit, voilà de quoi sourire.
Ce sont donc eux deux qui découvrent le corps de Jacob, après l'orage que le vieux Quil Ateara attribue à la colère de Rachel : en effet, celle-ci vient juste d'apprendre la mort de son frère et les circonstances dans lesquelles elle a eu lieu.
Jacob est retrouvé -d'abord méconnaissable et comme mort- à même la terre boueuse, près de l'Arbre aux Ancêtres où ses cendres avaient été déposées. De plus, il est couvert de poils, de plumes, à tel point qu'on le confond d'abord avec un animal. J'ai voulu faire de cette "renaissance" de Jacob un moment très "terrestre", très physique. Il renaît à partir de la matière la plus simple et la plus concrète : la terre, la chair animale... et pas seulement.
L'orage, l'électricité, le magnétisme... sont des éléments qui ont beaucoup d'importance dans ma fiction. Ils sont en lien avec le pouvoir de Bella, mais aussi ceux de nombreux vampires. On peut aisément se figurer que le lien qui unissait Jacob, Bella, et leurs enfants, a eu une incidence sur leur nature à tous au moment de la transformation de Bella en vampire.
Il m'est apparu que ce changement de nature pouvait être assez fort, assez "magique" pour permettre un certain nombre de choses. Et c'est ce que j'ai choisi d'exploiter ici.
L'idée que la foudre, l'électricité -et tout ce qu'elle implique d'énergie céleste, cosmique, voire divine !- puisse rendre la vie à un mort a toujours été présente dans l'imaginaire collectif. C'est, bien entendu, ce qu'a exploité Mary Shelley, dans son célèbre Frankenstein, et ce "mythe" m'a certainement inspirée dans l'élaboration de mon récit.
Avec l'eau, le feu du ciel, et la terre, quelque chose de mystérieux s'est produit. Bella est devenue vampire, ses enfants humains et Jacob a retrouvé corps. Comme le précédent volume l'avait raconté, son esprit demeurait dans la forêt (à la manière de celui de Taka Aki, selon la légende quileute), "attaché" à Bella et ses enfants par la cérémonie du mariage quileute.
Les voilà à présent séparés... et réunis.
Bella dit avoir eu la sensation de cette séparation à la fin de sa transformation. Elle, qui pensait avoir perdu définitivement la possibilité de "voir" Jacob en devenant vampire...
J'ai trouvé l'image suivante par un heureux hasard. Elle est singulièrement semblable à celle que j'avais employée (plus calme et "dorée") lorsque Bella et Edward se trouvaient en Afrique et que Bella racontait son ressenti de vampire nouveau-né et sa tristesse d'avoir certainement perdu Jacob pour toujours :
Carlisle fait aussi remarquer à Bella que la sensation très particulière qu'elle a éprouvée au pôle sud venait probablement du fait qu'elle se trouvait exactement à l'endroit géographique du pôle magnétique. On en apprend donc ainsi davantage quant au fonctionnement de son pouvoir. Comme le lui dit le Dr Cullen : il n'y a pas de hasard. Le don de Bella est lié au magnétisme, tout est une question d'attraction, d'énergie... Bella a été attirée, "appelée", conduite, amenée en ce lieu. Que ce soit par une volonté spirituelle ou physique, c'est ce qui s'est produit. Par choix personnel, je souhaite insister, dans ma fiction, sur l'idée que l'esprit (la magie, le divin) habite la matière. C'est aussi une manière très concrète d'interpréter l'idée du "destin".
Concernant la nature de Jacob.
Il est revenu. Et il est bien lui-même. Mais comment ne pourrait-il pas être "un peu différent" également ? Pour le moment, ce qu'il est -et qui il est- demeure un mystère. A la fois pour Carlisle et les Quileutes. J'ai voulu envisager les réactions de ces derniers face à un tel événement : peur, superstition, bonheur... Et l'attitude de Carlisle, toujours fidèle à lui-même, avant tout soucieux du bien-être de chacun.
Physiologiquement, Jacob est un être humain. Mais les vampires ressentent certaines différences : son odeur est très particulière, en ce sens que bien qu'elle soit semblable à celle des humains -en beaucoup plus puissante- elle ne provoque pas leur "soif", de plus ils éprouvent une étrange sensation de vertige lorsqu'ils se concentrent sur lui, et enfin leurs pouvoirs n'ont pas d'effet sur lui. Ces différences, même si elles n'ont pas d'incidences manifestes, sont notables. Nous sommes loin d'en avoir fini avec ce nouveau Jacob...
Son évolution montre aussi les changements de sa personnalité : après la première panique due à son état (aucune mémoire, mais pas seulement : il semble qu'il ait dû se réhabituer à vivre en être humain, à parler, etc...), il s'est rapidement adapté. Il a "soif", lui aussi. De connaissances (et c'était déjà le cas du Jacob que j'avais montré peu avant qu'il ne disparaisse), de savoir. Il semblerait que son intelligence se soit "libérée". Et c'est vraiment sur ce dernier point que j'insisterai par la suite.
J'ai tenu -après avoir d'abord pensé oublier le sujet- à reparler de ces expériences médicales que S. Meyer prête à Carlisle dans Breaking Dawn. Il s'agit réellement d'un élément très controversé et qui soulève de nombreuses critiques. A juste titre. Je ne comprends pas pourquoi l'auteur s'est aventurée sur ce terrain, et pourquoi elle a tenu à affirmer (tout en se prévalant d'explications scientifiques erronées) des choses aussi aberrantes.
Pour faire simple : que la "mutation" d'un être humain en vampire se manifeste par l'apparition de deux paires de chromosomes supplémentaires est absurde. D'une part, parce que l'être humain est "mort", alors comment et pourquoi devrait-il se trouver soudain pourvu de chromosomes supplémentaires ?, d'autre part, parce que le nombre de chromosomes ne permet pas une hiérarchisation des espèces. Il semblerait que ce soit ce que S. Meyer ait voulu faire : un classement. Humain, Transformateur, vampire. Inférieur, supérieur. Déjà, cette idée ne me plaît pas du tout. Ensuite, ce n'est pas le nombre de chromosomes qui fait qu'un être vivant est plus "évolué" qu'un autre (humain : 23 paires, carpe : 52, fougère : 600 !).
En outre, l'auteur a ensuite imaginé la naissance de Renesmée, hybride humain-vampire, ce qui est une autre aberration puisque deux êtres n'appartenant pas à la même espèce (nombre de chromosomes justement) ne peuvent se reproduire ensemble. Pour que cela soit possible (car l'hybridation existe bien dans la nature), il faut que ces êtres soient d'espèces très voisines, et quand bien même, l'être auquel ils donnent alors naissance est lui-même stérile (pauvre Renesmée... et pauvre Jacob !).
Enfin, on peut certainement se permettre de tout envisager à partir du moment qu'on accepte le caractère "magique" de la physiologie vampirique... mais alors, pourquoi avoir tellement tenu à s'appuyer sur des faits scientifiques, sans en respecter du tout la réalité ? Ce n'était vraiment pas nécessaire, et cela n'apporte aucune vraisemblance supplémentaire au récit.
J'ai donc cherché à modifier ces éléments, en tentant d'y apporter la seule solution possible : l'absence d'explication rationnelle. J'ai suivi l'idée selon laquelle les corps des vampires seraient faits d'une matière surnaturelle (divine ? angélique ? démoniaque ?) qui leur donne les propriétés que l'on connaît, et plus particulièrement leur capacité à "irradier". C'est cela aussi qui fait que l'essence profonde de ces êtres ne peut pas être regardée en face, selon moi.
Après tout cet échange, Bella a de quoi se réjouir. Tout paraît aller pour le mieux. Mais serait-ce réellement possible ? Les choses devraient-elles être si simples ? Je prends encore mes distances par rapport à la vision originelle de l'auteur de la saga.
Ma bella sent (elle sait, au fond) qu'elle n'a pas encore tout entendu. Elle craint d'apprendre la vérité totale, elle la redoute. Cependant, il va lui falloir, selon l'expression consacrée, "boire la coupe jusqu'à la lie". Car devenir vampire n'est certainement pas -et ne DOIT pas être, selon moi- "que du bonheur".
Où l'on reparle de Rosalie.
En cherchant à illustrer cet article, j'ai trouvé d'admirables pièces de fanart. Je vous les fais partager :
La transformation de Sarah et Karel a profondément perturbé Rosalie. Elle qui fuit sa nature vampirique, qui pensait avoir trouvé en Karel (Transformateur en devenir) la possibilité d'une relation affective dénuée d'attirance, se retrouve confrontée à ses démons. Et peut-être sont-ils même pires que ce que l'on soupçonne à ce stade de l'histoire...
En passant : même si je n'ai rien contre Nikki Reed qui incarne très bien le personnage de Rose, j'ai découvert des images de Diane Kruger dans les illustrations proposées par les fans, et je dois avouer que je trouve qu'elle correspond parfaitement à l'idée que je me fais du personnage.
J'ai aussi détourné l'imprégnation que Jacob subit face à Renesmée sur Seth et Sarah. C'est un autre clin d'oeil. Et puis l'idée est réjouissante... ; )
Pour le moment, on comprend que Jacob est gardé dans l'ignorance. Mais c'est une situation particulièrement précaire. Quand et comment va-t-elle changer ? C'est un problème de taille. Déjà, des évènements viennent de se produire qui ne peuvent manquer de le perturber. Il se montre apparemment très respectueux des secrets qui l'entourent, mais comment ne pourrait-il pas chercher des réponses ? Faudra-t-il lui apprendre la vérité, ou serait-il préférable pour lui de vivre sa nouvelle vie en ayant la chance de ne plus avoir de passé ? Voilà un des éléments les plus intrigants et un défi certain pour la suite de ma fiction.
Encore une fois, Edward est présent pour accompagner Bella dans les moments les plus difficiles, comme il l'a fait aussi dans les moments les plus heureux. Il est son mari. Et il se comporte toujours avec la sensibilité et l'intelligence qui le caractérisent.
Ainsi, Bella apprend sa propre mort. J'ai fait ce choix parce qu'il est, à mon avis, très intéressant, d'une part, et absolument nécessaire d'autre part. L'héroïne a pris la décision de ne plus être un être humain, il est donc logique que sa vie humaine, et tout ce qu'elle impliquait, s'achève à partir de là.
De nouveaux problèmes se posent donc. Quelle va être la relation de Bella avec ses enfants ? Avec Jacob ? Comment les Quileutes vont-ils réagir ? Comment supporter l'idée du deuil que sa mère doit subir ?...
Bella et Edward ne devant pas être vus, où vont-il pouvoir vivre désormais ? Leur faut-il partir ?
Le cottage (petit nid d'amour, véritable bonbonnière écoeurante créée par S. Meyer) m'était apparu comme une idée aberrante d'abord, à éviter absolument à la façon d'un mauvais souvenir. Puis, mon histoire avançant, j'ai pensé qu'il me serait possible de l'exploiter, de manière à rester toujours "près" de ce que l'auteur avait envisagé, mais en choisissant de le modifier résolument. J'ai trouvé, d'ailleurs, une illustration qui me satisfait assez... je la présenterai dans les commentaires des prochains chapitres.
En attendant, j'ai bien envie de vous en proposer plusieurs, dans un nouvel article ludique consacré aux sondages... ^^ (à voir)
Comme Bella le dit elle-même face à sa propre tombe : tout ne peut pas être parfaitement heureux. Il ne s'agit pas d'un conte !
Ma volonté est de m'éloigner de la chute idyllique et bon enfant proposée par l'auteur. Dans ma fiction, l'issue se profile, avec une toute autre logique, et Bella réagit avec -je l'espère- un certain réalisme.
Face à son cynisme et son amertume, Edward répond avec tendresse et humour. Il est celui qui apporte à Bella toutes les solutions, tout le réconfort. Son amour indéfectible le lui permet. Il est celui qui ouvre les portes, qui apaise, qui recentre. Comme l'eau, à laquelle il est souvent identifié, il est essentiel à Bella. Il lui donne sa force, facilite chaque chose, apporte une certaine légèreté poétique également. Car dans le monde de la fiction, il est agréable de se permettre un peu de légèreté... même dans les moments les plus graves.
Articles
Que de recherche et de déduction !! De la génétique au pôle magnétique, ta fiction m’enrichis et complète ma culture… cohérente, recherchée, intelligente et cultivée sont des adjectifs qui qualifient ton histoire. Que de plaisirs…
RépondreSupprimerPeux-tu m’éclairer sur un point de détail : Rachel est la sœur de Jacob. Cela fait-il partie de l’histoire de Meyer ou un ajout qui contribue à ta fiction ?
D’ailleurs, je ne me souviens plus de Paul et des détails sur son personnage, j’ai plus qu’à relire le tome 1 de Meyer…
Je suis ravie que les éléments un peu "culturels" que j'utilise dans mon histoire te permettent peut-être de découvrir des choses ou attisent ta curiosité. Cela me semble très important, c'est un des intérêts de la lecture, selon moi. Je fais toujours en sorte d'utiliser des choses réelles et véridiques, même si elles sont parfois un peu "décalées".
RépondreSupprimerPour répondre à tes questions, oui, Rachel est la soeur de Jacob, et ce n'est pas moi qui l'ai inventé. S. Meyer en parle dans son premier tome ainsi que dans le quatrième. Jacob a deux soeurs aînées, jumelles, Rebecca et Rachel. L'une est mariée et vit à Hawaii, l'autre fait ses études à l'Université de l'Etat de Washington. Ni l'une ni l'autre ne reviennent souvent à La Push depuis le décès de leur mère. On ne parle pas beaucoup d'elles.
Par contre, Paul est un Quileute qui est souvent mentionné : il a un caractère difficile, provocateur, irritable... Bella le gifle et il se transforme en loup sous ses yeux, c'est ainsi qu'elle découvre ce que sont les Quileutes. En dépit de tous les éléments négatifs concernant ce personnage, il est aussi attachant. Très certainement grâce à l'acteur qui l'incarne : LIEN.
Voilà je les ai lues tes explications ;)
RépondreSupprimerDonc j'aime cette idée de magnétisme, de renaissance par le matière et l'énergie (je n'avais pas repensé à Frankenstein pourtant je l'ai lu plusieurs fois... avant d'en voir une adaptation cinématographique très "réaliste" qui m'a terrifiée au point de revendre mon livre sic)
Je comprends et j'apprécie aussi la réaction de Rosalie (qui me paraît très humaine d'ailleurs à ce moment-là) Mais j'ai un peu plus de mal avec celle de Bella même si elle semble très logique telle que tu l'expliques. Je pense que cela vient de mon statut de "mère", ce lien viscéral absolument unique qui fait qu'aucune réaction ne peut être complètement rationnelle.
Quand à Edward, comme tu dis, il est présent comme d'habitude avec aussi sa fâcheuse habitude de protéger, de ménager... cela ne vient pas de ton écriture : Edward m'agace à la base et comme tu as gardé le caractère du personnage (ce qui est normal) et bien ça ne passe pas.
Enfin, je te tire mon chapeau pour l'explication génétique (totalement aberrante de la part de S. Meyer mais quand on voit le nombre d'incohérences dans ce quatrième tome pfffff !!!! - il semble juste fait pour le marketing). J'adhère totalement à ta vision, et encore une fois je vais attendre la suite avec impatience (surtout pour en savoir plus sur Jacob j'avoue ;):)
Encore bravo pour ce travail.
Eh bien merci... J'espère toujours que mes explications vont pouvoir donner lieu à des discussions, voire des argumentations sur les choix que je fais et qui pourraient n'être pas compris ou poser problème, mais ce n'est jamais le cas. Alors je me dis que personne ne les lit, ce qui me désole bien... *snirf bruyant*. lol.
RépondreSupprimerJe serais curieuse de connaître cette version "terrifiante" de Frankenstein dont tu parles...
En quoi la réaction de Bella te semble-t-elle bizarre ? J'ai longuement raconté ses sentiments et son attachement de mère, ses préoccupations... Dis-moi.
Pour Edward, tu as raison, je ne peux pas changer du tout au tout sa personnalité. Ce n'est pas mon but. Donc oui, définitivement, tu n'es pas faite pour lui. ^^ !!!
La suite... dès que j'ai le temps. ; )
Alors pour Frankenstein c'étati celle de Coppola avec Robert De Niro, Kenneth Branagh et Helena Bonham Carter (classé mois de 12 encore à la vente. Il est splendide mais vraiment dur en fait. Tout à fait dans la même veine que son Dracula tiens (ce sont des œuvres proches dans le temps).
RépondreSupprimerQuand à Bella, j'ai du mal à expliquer mais j'ai l'impression qu'elle se pose trop de questions par rapport à ses enfants ; je crois (ce qui n'est pas prouvé) que lorsque l'amour est présent le lien maternel ne se coupe pas et donc qu'ils vont obligatoirement l'accepter pour ne pas dire lui "sauter au cou". C'est sa réserve qui me laisse dubitative mais comme je te l'ai dit ton point de vue me semble logique aussi.
My, je regarderai ce film avec beaucoup d'attention à l'occasion... mais je me demande même si je ne l'ai pas vu (?) Mais pourquoi n'en ai-je aucun souvenir précis ? Peut-être n'en ai-je vu qu'un bout (ça m'arrive).
RépondreSupprimerPour ce qui est de Bella, non, si elle se pose toutes ces questions, c'est parce qu'elle est devenue vampire et qu'elle pensait que ses enfants, en tant que Transformateurs, pourraient la rejeter instinctivement... De toute manière, il me semble qu'étant donné son changement de nature, les liens "physiques" ne peuvent plus être les mêmes. C'est pour cette raison que je posais la question : "Peut-on être vampire et mère ?". Je l'avais déjà posée avec Kaly, qui avait "abandonné" ses enfants durant sa période de "nouveau-né" et de jeune vampire oublieux du passage du temps, et ne les avait jamais retrouvés ensuite, quand elle les avait cherchés.
Bella, elle, n'a jamais perdu ses enfants de vue. Ils sont d'ailleurs son seul objectif et sa grande motivation. Je n'ai pas l'impression qu'elle se montre "réservée" à leur égard. Elle les aime plus que tout, mais elle comprend aussi qu'une mère vampire n'est peut-être pas ce qu'il y a de mieux pour des êtres humains, puisque c'est ce qu'ils sont à présent. Enfin, tout ceci reste pour le moment un questionnement. Celui du personnage comme des lecteurs à travers elle.